Lundi 18 mai 2009 à 21:38

Disons qu'après tout ce temps, j'ai besoin d'écrire. Mes derniers mots étaient peut-être épicès, je le sais, mais c'était mes pensées au moment où je les écrivai, avec toute la rage que ca comprenait. Bref j'ai juste envie de rentrer, moins qu'il y a une semaine, mais incroyablement quand même. Et je me dis qu'en fait, c'est affreux, mais peu de personnes m'ont manqué. Mes deux mains sont suffisantes, pour les compter, ceux à qui mes pensées vont chaque jour. Trop de lucidité peut-être, désolée. Cette fois, je ne vais pas trop vous parler d'Elle, ni d'Elle, elles savent tout ca, et même si elles doivent être mes deux seuls lectrices, faisons comme si j'avais une foule de gens qui s'endormaient le soir au son de mes mots. Reve la vie, reve... Bref, je suis en Allemagne, et oui, depuis déjà deux semaines. Et j'avoue qu'il y a eu des hauts et beaucoup de bas, mais bon ai-je le droit de me morfondre, non il me reste une semaine, alors essayer de profiter de chaque moment sera la devise. J'aimerais écrire de longs textes, pour vous raconter la vie ici, mais je ne le ferais pas. Juste parce que si vous êtes quelqu'un à qui j'aimerais en parler, c'est déjà fait.
Romane aime lire des livres classiques sans plus s'arrêter, elle adhère entièrement à toutes ces conversations téléphoniques dont elle a besoin plus que tout autre, elle apprécie tellement ses messages qui lui font tant sourire et de sa part, ca change tout, et elle adore leurs appels et leurs messages de ces petits parents qui lui manquent incroyablement. Alors Mademoiselle écrit, elle invente une histoire auquel sa lectrice tiendra comme au bracelet de son poignée, elle imagine des personnages et les met en vie sans plus cesser. Parce qu'en fait Romane, écrire, elle adore ca, et le faire pour elle c'est un plaisir encore plus immense. Une histoire, une tirade, tout ce qu'elle veut, elle l'aura.

J'ai envie de ressentir mon coeur battre, c'est vrai je le dis tout le temps, je le sais. Mais cela fait si longtemps que je ne suis pas tombé amoureuse que ca me manque. Je dis amoureuse, parce que oui avoir un copain c'est toujours bien ( ou pas, d'ailleurs, . ) mais en être amoureuse c'est si différent, quand il vous prend dans ses bras, qu'il vous parle tout bas, qu'il vous dis qu'il vous aime et que vous êtes sûr de la réciprocité. Et c'est ce sentiment si incroyable dont je ne compte plus les mois qui nous sépare. Bref, je n'aime pas cet article, mais je le publie quand même. Voilà mes états d'ames. Chartres J-5...
Amour, tu sais je compte le nombre d'heures accrochés á ta voix, qu'il me reste avec une incroyable mélancolie. Tu es mon tout, tu sais, une des personnes dont je suis sûre d'avoir besoin au cours du temps. Alors je te promets qu'Internet est omniprésent à Chartres et rien que pour toi. Chérie, je t'aime.

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Mercredi 13 mai 2009 à 21:38

Et je me noie à présent dans cette océan d'illusions que j'avais bien voulu me faire.
Si seulement je pouvais plonger, tout arrêter, rien qu'un moment.
J'ai les joues mouillés, le souffle court, et plus de voix.
J'ai envie de crier et de fumer sans m'arrêter. Mais je ne le ferais pas.

Samedi 25 avril 2009 à 12:43

Et mes trois premières gouttes tombent sur ce bureau. Ce message de l'autre côté de la frontière, et là j'ai compris... Il n'y aura plus de bisous sur ma fossette pendant plus de deux mois, et là je n'y arrive pas, je craque. C'était si beau, si merveilleux, que je ne peux m'en résoudre. Elle a été là, depuis le début, c'était devenu mon égal, ces jours passés avec Elle, ça avait été mon impatience, et un souvenir extraordinaire maintenant. Toujours sur la même longueur d'onde, ces expressions qui ne viennent que d'elle, cette imagination débordante, parce que c'est Elle, et quoi qu'elle dise, mon sourire arrive. J'ai vu ce bus partir, et une boule au ventre est arrivée, c'était simplement la dernière fois, qu'on était Nous, cette fois-là. Là-bas, Elle va tellement apprendre de choses, elle va revenir les étoiles dans les yeux, après cette aventure qui fait notre montée d'adrénaline depuis plus de deux mois. D'y penser chaque jour, et d'imaginer la vie là-bas. On était impatiente, puis pensive, et enfin on la regrettait, ce voyage. Parce qu'on était juste bien, toutes les trois, inséparables, et que les jours passaient incroyablement vite. Elles étaient bourrés de fous-rires et de regards, et même si je ne fais que le répéter, c'est parce qu'ils étaient singuliers. Jamais ça ne m'était arrivé, d'être aussi bien dans une classe, et de me sentir en confiance, rien qu'à la prunelle de leurs yeux. Et leurs mots sonnaient dans ma tête en découlant sur des sourires, et ça c'était juste mon quotidien et mon bonheur, que je n'aurais changé pour rien au monde. Et ce samedi 25 avril est arrivé, cette date que je connaissais par coeur, sans vouloir la voir arriver. La voir presque tous les jours, toute cette semaine, la prendre dans mes bras, encore et encore. M'endormir à ses côtés, ma réveiller au son de Volo, préparer le petit dej' ensemble, flanner sur les Champs Elysees, profiter, profiter et profiter du temps qui passe. Tu restes mienne, où que tu sois, tu sais. Parce qu'on s'est tout promis, des messages quotidiens, avec des folies sur chaque, des Private Jock, de ces heures de lycée passées ensemble. Avec toutes ces heures au téléphone, on s'est tout appris, et elle me connaît par coeur. On a relu ensemble ces bêtises de cours de mathématiques, parce que ces heures là, c'était rien que du bonheur à chaque fois. Et même cette dernière heure de contrôle on l'a passé ensemble, on se le devait. De Aaron à Bérichonne, de ces phrases tordues à ces chansons de folie. Parce qu'un jour j'irais à Porto avec toi. De tous ces surnoms qu'on a crée pour ne jamais avoir la possibilité, de faire des fautes à ces prénoms. Et les messages se multipliaient, avec des déclarations d'amour à n'en plus finir. On avait dit que ces lettres en majuscules ne nous séparaient jamais. Et j'ai bien peur qu'on continue la prochaine année ensemble, je ferais tout pour, enfin tout pour toi, et tout pour ça. J'aime aller au cinéma avec toi, tu sais, c'est peut-être futile, mais ces commentaires, et des heures en plus ensemble, je ne cracherais pas dessus. Maintenant je prie, pour avoir la chance de te voir en Allemagne, même si la manoeuvre sera difficile. On assurera... Aujourd'hui, ne surligne pas, souvent ils étaient pour toi, là je l'écris gris sur noir. " J'aimerais trouver une facon de te dire je t'aime qui ne ressemble à aucune autre.L'inventer juste pour qu'elle soit à l'image de l'Amour que je te porte. Qu'on ne puisse pas rendre banale et que rien n'y ressemble. "

Mon Allégorie de la gentillesse, Ma Croco'Mother, Meuf, Chérie, Mami, Amour, Ma Grande, Ma belle,  je commence à barrer les jours en ton absence.
De te dire que je t'aime est si futile, de te perdre serait inenvisageable.
A la vie, à l'amour, jusqu'à la mort mon Amour...

Mercredi 15 avril 2009 à 22:40

         Il me reste deux semaines et demie avant de m'envoler. Je commence par ça et j'en parle plus. Promis. J'ai déjà passé plus de trois semaines, avec Elle, et on peut voir notre complicité sur nos visages aujourd'hui. Ces trois semaines là-bas vont passer à toute allure, j'en suis sûre, et c'est tant mieux, parce que sans Eux, ce sera pas de la tarte. A en venir peut-être à attendre octobre arriver. Vous savez ces journées qu'on appréhende parce qu'on doit dire Au revoir à ces professeurs, pour certains qu'on aime bien dans le fond. Et parce qu'on compte les dernières heures de cours, cette fois on ne veut pas partir. Pouvoir voir encore ces regards d'un bout à l'autre de la classe, se soutenir contre les réflexions des profs, et l'entendre tousser en rigolant encore et encore. J'aurais passé cette dernière semaine, avec ces deux là, et rien n'aurait pu être plus beau. Des présences indispensables à mon bonheur, alors que d'autres se sont évanouis complètement... Imaginer les Au revoir avec une boule au ventre, et ces quarante deux versions possibles.
         J'ai enlevé mon dernier article, il m'avait fait tellement bien, de tout déballer, d'un coup sans réfléchir, sans vraiment beaucoup de sens. Juste se libérer de ces hommes qui vous rendent prisonnières de leurs sentiments, et ce cercle vicieux, qui se forge autour de vous. Alors maintenant je n'en parle plus, la serviette est parti, et le torchon sait combien je tiens à Lui. Quant à lui, je le vois bientôt et c'est tout ce qui compte. Un jeudi qui se prépare, et risque d'être exceptionnels pour changer. Malheureusement Elle est en Italie ( et je pense fort à Elle ), donc pas de la partie. Des photos en veux-tu, en voilà. Juste immortaliser ces derniers sourires, pour se les remémorer là-bas.
         Tout ça pour dire que j'aime Aldebert et Tom Gé, grâce à Elle, que je ne cesse d'écouter 4Tune, à cause d'Elle, et que tout ça c'est folichon. Parce que même si je leur dis à longueur de journées, ce sont mes Amours, et je les aime encore bien plus que ça. Mieux que la liberté, mieux que la vie, mieux que tout... (L)
. Merci pour tout, merci d'être là, mes Essentiels. Que serais-je sans vous, là-bas. Des messages tout le temps, je vous le promet. Mes Meufs, Mes Chéries, Mes Amours <3. Vous et rien que Vous.

Bis bald.

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J'ai envie d'écrire, alors mince. J'écoute Madame Suzie, en pensant à cette journée, juste exceptionnelle, que j'ai passé avec Elle, avec ce petit matin, à les prendre dans mes bras, surtout Lui, que je ne verrais plus, cinq semaines... Il ne s'imagine pas, à quel point ces cours de latin, c'est mon petit bonheur, pour tous ses fous-rires. J'attends Paris avec impatience, et le Gorget ensemble. J'attends de venir le soir, ou dés que je peux, pour passer un peu de temps avec Lui, parce qu'il me manque. Et même s'il s'éloigne à cause de notre distance, et de tous ces " ce n'est pas possible ". J'ai juste envie de le voir. J'attends que cette soirée arrive, et les revoir tous les deux, passer du bon temps et se lâcher. Elle revient d'Italie, alors je vais voir les étoiles dans ses yeux, pendant qu'elle me raconte tout ça, qu'elle n'est pas morte dans le Vésuve. Je vais bien, et ne vous en faites pas, cette fois c'est vrai. J'imagine ce 3 mai, ces deux trains, cette langue à apprendre, pour pouvoir espérer être à la hauteur l'an prochain. Pourquoi pas, une section européenne ? Avoir la possibilité, de passer une dizaine d'heures avec Elle, ce serait juste parfait. Et même si mes notes chutent, je veux tenter, ce ne serait que bénéfique. Latin, Deux filets, Européenne allemand, suis-je folle ou ambitieuse ? Un peu des deux, j'imagine. Si Elles croivent en moi, je pourrais y arriver. Et j'ai mis ma jupe, je me suis attachée les cheveux, elle dit que ça me rend plus gentille. On lui apprend des bouts de chansons françaises, des expressions à la Clo, et tous les mots qu'on aime et qui nous tordent de rire. Une dernière semaine ensemble, à Chartres, et je me rends compte à quel point je me suis attachée à cette folle-dingue, qui a la soif d'apprendre cette langue de Molière. Inès&Romane. Elle a enlevé cette solitude, elle n'en a jamais fait trop, elle est resté elle, je suis restée moi. Danke.

Et pour elle, j'écrirais des pages, et des pages, je cocherais ces chiffres chaque jour, en relisant cette déclaration en histoire qu'elle m'a écrite. Je m'attacherai les cheveux, je sourirai, pour qu'elle  dépose un bisou dans ma fossette, et je me marierais devant un curé exceptionnelle.
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Dimanche 4 janvier 2009 à 17:53

Je ne polémiquerais pas sur l'incroyable nouvel an que j'ai passé, avec ces 14 oufs de la vie, que j'aime à la folie. Je ne raconterais pas non plus ces vacances où les sorties ont envahis les journées, et où le bonheur au parfait de l'indicatif ne cessait d'être là. Je ne vais pas lire, ou recopier la merveilleuse lettre que mon Allégorie de la gentillesse m'a écrite, et qui arrive bien plus haut que le dixieme de mon doigt de pied. Non, je ne dirais rien là-dessus, ça c'est juste pour moi =D. Je ne vais pas résumer les dizaines de films que j'ai vu pendant ces vacances, qui m'ont émus et fais tant réfléchir. Ainsi que ce livre, non je ne l'oublie pas. Et je ne compterais pas tous les coeurs que j'ai envoyé à ma belle, et expliquer toute leur signification. Malheureusement, je ne m'exprimerais pas sur le fait que leur venue à tous les deux, à bouleverser notre groupe, et que le manque d'eux va être tellement plus grand, au fil du temps. De plus, je ne vous exposerais pas le fait que de voir son frère pendant deux semaines de suite, et plus rien pendant trois mois, il y a rien de plus dûr. Surtout quand c'est un frère de ouf, qu'il vous donne le sourire dés qu'il passe, et que vous aimez à la folie. En tout cas, je ne dirais pas que la seule raison pour laquelle j'ai envie de me lever demain matin, c'est pour les voir, et juste pour les voir. Le reste, je m'en passerai. ( Meeeerci ! )
Bref, aujourd'hui je ne raconte rien ou pas grand chose. Que je réfléchis chaque jour et que ces citations j'en fais mon oxygène. J'ai envoyé tout le bonheur que j'ai pu en début d'année. Et si on a tous fais le bilan de notre année passé, le mien était quelque peu désastreux. Si mon sourire est de surface, il se cache bien autre chose. Alors bref, comme Edith Piaf, mon conseil c'est d'aimer à n'importe quel moment. Et puis mince, la vie fera le reste.
( Ou pas... )

La plus grande vérité que l'on puisse apprendre un jour est qu'il suffit d'aimer et de l'être en retour.
Bonne Année._                                                                                               CMMMRV, une évidence malgré tout...

N'oubliez pas : On me dit que nos vies ne valent pas grand chose, elles passent en un instant comme fânent les roses.
Paraît que le bonheur est à portée de main, alors on tend la main et on se retrouve fou...

Peut-être qu'à force de tendre la main..
.

Et voilà un six janvier qui arrive, sans crier gare. Un an déjà que j'écris, mon journal intime, mon carnet de voyage, mon passeport de survie, et mon échappatoire. Je n'en ai pas fait un gueuloir comme ce fameux Flaubert, plutôt un mouchoir à vrai dire.
Je ne sais comment parler de Lui. Mes mains tremblent, j'ai froid, j'ai peur. Cette mélodie qui s'agite me fait toujours autant frémir
*. " On était jeunes, on était fous." J'ai peur de l'être encore, de faire preuve de trop de rapidité. Mais est-ce qu'on doit vraiment gaspiller le temps ? Est-ce qu'on en a le droit ? Je crois qu'on s'est dis que non, un aimant s'est crée pendant ces deux heures, il ne veut plus s'en aller. Je ne veux plus partir... Alors je vois les minutes défilaient, avec une impatience démesurée. Demain. <3. ( Tours vite, avec vous* )

( A force de la tendre, il y a mit son coeur, et j'ai fermé la main... )

Aujourd'hui je lui ai donné beaucoup, tout moi, pas de trop. Avec, il a pris toute mon estime de moi-même, que je n'ai plus. Elle est parti grâce à Eux. Une journée à péter des cables, et en même temps à être tellement bien avec Lui*. Juste sourire, ne faire que l'embrasser des heures, tu dis que c'est un rêve... Tout est aller si vite, mais c'est tellement bien. Mercii. "Est ce que ce n'est pas incroyable de rencontrer quelqu'un et de se dire : avec cette personne, je suis bien."

Et ce week-end, commmencé par d'interminables conversations avec Lui, en L'attendant  <3 <3. Puis, lever aux aurores, et l'arrêt Chateau d'eau. Dans ma tête il y a Elle, et cette phrase " Et après ? Après on rêve d'avant. ". Une maison incroyable, un paradis pour les "araphiles", ( comme moi... ). Cette comédie musicale magnifique, à aller voir. Un film anglais d'exception, et un brunch derrière pour marquer le coup. Puis cette exposition, . Alors, je ne dirais mot. Simplement, ces deux heures dans cette endroit, à changer mes pensées, mes idées. Ma façon de voir les choses, le monde en a été bouleversé. Je ne m'en remets pas... Voyez ce compteur qui avance, et qui fait peur...
Mais qui dit revenir, d'y le retrouver, Lui et ces fous-rirs, retrouver ceux qui me pourrissent la vie. Et se dire que demain c'est lever 7h00, c'est Eux trois, encore avec moi. Mais bon, quand y en a marre, y a Malabar ? Toutes les deux, je ne m'en lasse pas et je ne m'en lasserai jamais. Juste besoin de vous au quotidien, et durant ces trois heures. Cette semaine était si... Clos-Plait-il-Deux, Beau-petit-lot-Rat-des-champs, Rhum-Orange-Ane-Shrek. Si naturelle. <3
" Je t'aime comme l'amour nous élève, haut, haut, haut. ". Je veux être avec Vous aussi.

Ma vie, c'est comme le métro. Certains voyageurs montent, d'autres descendent. Certains ont des changements rapidement, d'autres restent encore et encore dans le même wagon. C'est à n'en plus finir...
"J'ai peur du terminus... "

Au commencement, le passé et l'avenir n'existait pas. C'était avant la grande explosion. Celle qui engendra la matière, l'espace et le temps. [...] Depuis l'origine, plus de quatre-vingts milliards d'êtres humains ont, avant nous, vécu, construit des villes, écrit des livres, de la musique. Vivants, nous ne sommes que six milliards aujourd'hui. Nos morts sont donc quatorze fois plus nombreux. Ils pourrissent et se décomposent sous nos pieds et dans nos têtes. Ils parfument notre terre et nos aliments. Certains nous manquent.
Bientôt, dans quelques milliards d'années, le Soleil aura épuisé ses réserves d'hydrogènes et son volume aura centuplé. La température de la Terre dépassera alors 2000°C mais il est probable que l'espèce humaine aura depuis longtemps disparu. Quant à l'univers, il continuera sans doute à se dilater et à se vider de toutes ses galaxies. Avec le temps, les étoiles finiront-elles aussi par s'éteindre, formant un cimetière immense dans le cosmos.
Ce soir, le ciel est bas et la nuit est calme
.


Et aprés, Guillaume Musso.

Bref, le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard... Aragon.

J'aime chanter Let it be ou encore Say you Say me avec Elle. Sa présence, je ne m'en lasse pas et nos vers me donnent encore plus envie de passer du temps avec elle. Ses mots sont singuliers..." O faites qu'il ne parte pas, qu'il reste mien. Retenez-le, enchainez nos coeurs, et faites que nos os pourrissent ensemble. A la vie, à l'amour, jusqu'à la mort mon amour... "

" Mon allégorie de la gentillesse, la discrétion est une vertu trés importante...
Mais avec toi, je ne veux en faire preuve, notre poème c'est notre hymne, et notre folie nothe thèse. "

Parfois je ne comprends pas ce qui se passe, dans ma tête, toutes ses pensées qui me torturent. Les jours défilent, les week-ends se multiplient avec une envie de liberté et de délivrance. Tout ce que j'espère c'est pouvoir toucher du doigt l'évasion que je pourrais avoir là-bas. L'espoir est revenu, grâce à Elle, ses yeux qui pétillent. L'impression qu'ils sont tous absents, qu'ils ne comprennent pas, personne. Eux si, si précieux au jour d'aujourd'hui. Ils sont dans ce voyage avec moi, et l'impatience fait parti de leur quotidien. Je les envie. Parce que j'en ai aussi sous la pédale. Et tous ces sourires grâce à Elle. Et puis je pense à Elle, " l'été qui s'achève tu partiras, à cent milles lieues de moi ". J'ai peur de la voir s'éloigner, j'ai peur pour Elle, de l'imaginer là-bas... Et puis je veux partir, oublier tout ça, rien ne me ferait plus de bien. Des pensées, vraiment trop. Il me manque, j'espère qu'il va venir, très vite. Elle aussi, ce week-end était si incroyable, que tous ces souvenirs réapparaissent quand je la vois. Fribourg, dépêche toi...

Les personnes qui ont la joie de vivre cache trop souvent leurs souffrances derrière leur sourire.

Il a fait que tout a changé, c'était juste incroyable. Sa présence...

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