Je ne polémiquerais pas sur l'incroyable nouvel an que j'ai passé, avec ces 14 oufs de la vie, que j'aime à la folie. Je ne raconterais pas non plus ces vacances où les sorties ont envahis les journées, et où le bonheur au parfait de l'indicatif ne cessait d'être là. Je ne vais pas lire, ou recopier la merveilleuse lettre que mon Allégorie de la gentillesse m'a écrite, et qui arrive bien plus haut que le dixieme de mon doigt de pied. Non, je ne dirais rien là-dessus, ça c'est juste pour moi =D. Je ne vais pas résumer les dizaines de films que j'ai vu pendant ces vacances, qui m'ont émus et fais tant réfléchir. Ainsi que ce livre, non je ne l'oublie pas. Et je ne compterais pas tous les coeurs que j'ai envoyé à ma belle, et expliquer toute leur signification. Malheureusement, je ne m'exprimerais pas sur le fait que leur venue à tous les deux, à bouleverser notre groupe, et que le manque d'eux va être tellement plus grand, au fil du temps. De plus, je ne vous exposerais pas le fait que de voir son frère pendant deux semaines de suite, et plus rien pendant trois mois, il y a rien de plus dûr. Surtout quand c'est un frère de ouf, qu'il vous donne le sourire dés qu'il passe, et que vous aimez à la folie. En tout cas, je ne dirais pas que la seule raison pour laquelle j'ai envie de me lever demain matin, c'est pour les voir, et juste pour les voir. Le reste, je m'en passerai. ( Meeeerci ! )
Bref, aujourd'hui je ne raconte rien ou pas grand chose. Que je réfléchis chaque jour et que ces citations j'en fais mon oxygène. J'ai envoyé tout le bonheur que j'ai pu en début d'année. Et si on a tous fais le bilan de notre année passé, le mien était quelque peu désastreux. Si mon sourire est de surface, il se cache bien autre chose. Alors bref, comme Edith Piaf, mon conseil c'est d'aimer à n'importe quel moment. Et puis mince, la vie fera le reste.
( Ou pas... )

La plus grande vérité que l'on puisse apprendre un jour est qu'il suffit d'aimer et de l'être en retour.
Bonne Année._                                                                                               CMMMRV, une évidence malgré tout...

N'oubliez pas : On me dit que nos vies ne valent pas grand chose, elles passent en un instant comme fânent les roses.
Paraît que le bonheur est à portée de main, alors on tend la main et on se retrouve fou...

Peut-être qu'à force de tendre la main..
.

Et voilà un six janvier qui arrive, sans crier gare. Un an déjà que j'écris, mon journal intime, mon carnet de voyage, mon passeport de survie, et mon échappatoire. Je n'en ai pas fait un gueuloir comme ce fameux Flaubert, plutôt un mouchoir à vrai dire.
Je ne sais comment parler de Lui. Mes mains tremblent, j'ai froid, j'ai peur. Cette mélodie qui s'agite me fait toujours autant frémir
*. " On était jeunes, on était fous." J'ai peur de l'être encore, de faire preuve de trop de rapidité. Mais est-ce qu'on doit vraiment gaspiller le temps ? Est-ce qu'on en a le droit ? Je crois qu'on s'est dis que non, un aimant s'est crée pendant ces deux heures, il ne veut plus s'en aller. Je ne veux plus partir... Alors je vois les minutes défilaient, avec une impatience démesurée. Demain. <3. ( Tours vite, avec vous* )

( A force de la tendre, il y a mit son coeur, et j'ai fermé la main... )

Aujourd'hui je lui ai donné beaucoup, tout moi, pas de trop. Avec, il a pris toute mon estime de moi-même, que je n'ai plus. Elle est parti grâce à Eux. Une journée à péter des cables, et en même temps à être tellement bien avec Lui*. Juste sourire, ne faire que l'embrasser des heures, tu dis que c'est un rêve... Tout est aller si vite, mais c'est tellement bien. Mercii. "Est ce que ce n'est pas incroyable de rencontrer quelqu'un et de se dire : avec cette personne, je suis bien."

Et ce week-end, commmencé par d'interminables conversations avec Lui, en L'attendant  <3 <3. Puis, lever aux aurores, et l'arrêt Chateau d'eau. Dans ma tête il y a Elle, et cette phrase " Et après ? Après on rêve d'avant. ". Une maison incroyable, un paradis pour les "araphiles", ( comme moi... ). Cette comédie musicale magnifique, à aller voir. Un film anglais d'exception, et un brunch derrière pour marquer le coup. Puis cette exposition, . Alors, je ne dirais mot. Simplement, ces deux heures dans cette endroit, à changer mes pensées, mes idées. Ma façon de voir les choses, le monde en a été bouleversé. Je ne m'en remets pas... Voyez ce compteur qui avance, et qui fait peur...
Mais qui dit revenir, d'y le retrouver, Lui et ces fous-rirs, retrouver ceux qui me pourrissent la vie. Et se dire que demain c'est lever 7h00, c'est Eux trois, encore avec moi. Mais bon, quand y en a marre, y a Malabar ? Toutes les deux, je ne m'en lasse pas et je ne m'en lasserai jamais. Juste besoin de vous au quotidien, et durant ces trois heures. Cette semaine était si... Clos-Plait-il-Deux, Beau-petit-lot-Rat-des-champs, Rhum-Orange-Ane-Shrek. Si naturelle. <3
" Je t'aime comme l'amour nous élève, haut, haut, haut. ". Je veux être avec Vous aussi.

Ma vie, c'est comme le métro. Certains voyageurs montent, d'autres descendent. Certains ont des changements rapidement, d'autres restent encore et encore dans le même wagon. C'est à n'en plus finir...
"J'ai peur du terminus... "

Au commencement, le passé et l'avenir n'existait pas. C'était avant la grande explosion. Celle qui engendra la matière, l'espace et le temps. [...] Depuis l'origine, plus de quatre-vingts milliards d'êtres humains ont, avant nous, vécu, construit des villes, écrit des livres, de la musique. Vivants, nous ne sommes que six milliards aujourd'hui. Nos morts sont donc quatorze fois plus nombreux. Ils pourrissent et se décomposent sous nos pieds et dans nos têtes. Ils parfument notre terre et nos aliments. Certains nous manquent.
Bientôt, dans quelques milliards d'années, le Soleil aura épuisé ses réserves d'hydrogènes et son volume aura centuplé. La température de la Terre dépassera alors 2000°C mais il est probable que l'espèce humaine aura depuis longtemps disparu. Quant à l'univers, il continuera sans doute à se dilater et à se vider de toutes ses galaxies. Avec le temps, les étoiles finiront-elles aussi par s'éteindre, formant un cimetière immense dans le cosmos.
Ce soir, le ciel est bas et la nuit est calme
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Et aprés, Guillaume Musso.

Bref, le temps d'apprendre à vivre, il est déjà trop tard... Aragon.

J'aime chanter Let it be ou encore Say you Say me avec Elle. Sa présence, je ne m'en lasse pas et nos vers me donnent encore plus envie de passer du temps avec elle. Ses mots sont singuliers..." O faites qu'il ne parte pas, qu'il reste mien. Retenez-le, enchainez nos coeurs, et faites que nos os pourrissent ensemble. A la vie, à l'amour, jusqu'à la mort mon amour... "

" Mon allégorie de la gentillesse, la discrétion est une vertu trés importante...
Mais avec toi, je ne veux en faire preuve, notre poème c'est notre hymne, et notre folie nothe thèse. "

Parfois je ne comprends pas ce qui se passe, dans ma tête, toutes ses pensées qui me torturent. Les jours défilent, les week-ends se multiplient avec une envie de liberté et de délivrance. Tout ce que j'espère c'est pouvoir toucher du doigt l'évasion que je pourrais avoir là-bas. L'espoir est revenu, grâce à Elle, ses yeux qui pétillent. L'impression qu'ils sont tous absents, qu'ils ne comprennent pas, personne. Eux si, si précieux au jour d'aujourd'hui. Ils sont dans ce voyage avec moi, et l'impatience fait parti de leur quotidien. Je les envie. Parce que j'en ai aussi sous la pédale. Et tous ces sourires grâce à Elle. Et puis je pense à Elle, " l'été qui s'achève tu partiras, à cent milles lieues de moi ". J'ai peur de la voir s'éloigner, j'ai peur pour Elle, de l'imaginer là-bas... Et puis je veux partir, oublier tout ça, rien ne me ferait plus de bien. Des pensées, vraiment trop. Il me manque, j'espère qu'il va venir, très vite. Elle aussi, ce week-end était si incroyable, que tous ces souvenirs réapparaissent quand je la vois. Fribourg, dépêche toi...

Les personnes qui ont la joie de vivre cache trop souvent leurs souffrances derrière leur sourire.

Il a fait que tout a changé, c'était juste incroyable. Sa présence...